Véronique Jacquier Wikipedia – Un nombre croissant d’idiots ultracrépidaires gouvernent désormais la planète. Surtout dans le monde des médias, où cohabitent préjugés, incompétence, médiocrité et bêtise. Quand ils ne sont pas scandaleusement racistes, CNews est connu pour inscrire sur une telle liste des chanteurs aux sabots de contre-ténor incroyablement ennuyeux.
Jeudi, le club des faussaires de l’histoire de l’époque coloniale a eu un débat d’homme de paille au cours duquel la “journaliste politique” de CNews, Véronique Jacquier, a de nouveau été dénoncée. Elle a parlé de la colonisation de l’Algérie par la France avec une nette amertume sous-jacente, déclarant : « La France a colonisé l’Algérie pour mettre fin à la piraterie barbaresque et à l’esclavage méditerranéen pratiqués à l’époque par les musulmans ».
La même veine se poursuit lorsqu’elle dit : « En 1830, l’Algérie n’était rien du tout ». Plus de temps et d’efforts devraient être consacrés à la construction de ponts, de routes et d’hôpitaux en France plutôt que de s’engager sur la voie de l’autoflagellation et du repentir amorcée par Jacques Chirac et François Hollande. Enfin, la France pourrait avoir la capacité juridique d’enquêter sur le massacre d’Oran et d’autres atrocités commises contre les Harkis et les citoyens français.
Tous les racistes de France et de Navarre se sont unis pour répondre à ces propos qui constituent clairement une tentative de réécrire l’histoire. Outre le fait de rappeler que la torture était acceptée par les auteurs, elle opère au même titre qu’Éric Zemmour, le grand provocateur venu de nulle part et méprisant tous les nouveaux arrivants sauf elle-même et, bientôt, Marion Maréchal-Le Pen.
De plus, son indignation est hypocrite car limitée aux épisodes les plus violents de l’histoire coloniale. La seule façon d’échapper à votre histoire est d’écrire sur elle, disait Goethe. La difficulté est que Véronique Jacquier ne peut pas consigner ou raconter avec précision l’histoire de son pays pour le bénéfice des générations futures.
Le fait que l’historienne ait été victime des atrocités commises dans la France coloniale ne lui permet pas d’évaluer objectivement cette période ni de s’en dégager. Un journaliste intrépide le découvre. J’ai parlé avec Jean-François Lépine. Véronique Jacquier a commencé à le suivre dès 2012 et a continué jusqu’à l’élection présidentielle. Elle clarifie les aspects mystérieux d’une personne rarement vue autrement.
Les choses qui ont toujours intrigué l’homme sont expliquées dans ce livre. Après avoir suivi François Fillon pendant deux ans, Véronique Jacquier dresse un portrait sans concession de celui qui se cache derrière l’image soigneusement choisie de lui-même, L’Homme qui ne voulait pas être président (sorti le 15 janvier) est le premier livre écrit sur Fillon après l’élection, et son auteur, journaliste de Saint-Raphaël (lire au passage), décrit le personnage intrigant qu’elle découvre.
Est-ce résumé dans le quatrième paragraphe où il est dit : « On ne peut rien comprendre aux éclats de campagne de 2017 sans s’arrêter aux bouleversements psychologiques de l’homme ? Alors que l’on se situe quelques mois après le procès Fillon et que le parquet national financier a ordonné la semaine dernière un procès devant le tribunal correctionnel, cette évolution est très remarquable.
L’une des allégations surprenantes formulées par la journaliste politique de CNews, Véronique Jacquier, est que “la France a colonisé l’Algérie pour mettre fin à la piraterie barbaresque et à l’esclavage méditerranéen pratiqués à l’époque par les musulmans”. Il faudrait consacrer davantage de temps et d’efforts à parler des ponts, des routes et des hôpitaux que la France a créés plutôt que de s’engager dans la voie de l’autoflagellation et de la pénitence amorcée par Jacques Chirac et François Hollande.
Enfin, la France pourrait avoir l’occasion d’enquêter sur les prétendus « massacres » d’Oran et ailleurs à Harkin et en France. France. La journaliste Véronique Jacquier a affirmé : « François Fillon est indéfendable ». Le prochain livre de la journaliste de Sud Radio Véronique Jacquier, “L’Homme qui ne voulait pas être président”, est un portrait de François Fillon, et le renvoi de l’erratum ne saurait tarder.
Elle répond à nos questions dans une longue interview qui paraîtra dans le Courrier de l’Ouest du samedi 12 janvier, à partir de la page 2. À votre honneur, vous avez publié “L’homme qui ne voulait pas être président”. Avez-vous vérifié que votre confiance dans cette affirmation est à la mesure du parcours de François Fillon ?
Selon Véronique Jacquier, “Oui, je suis confiante pour deux raisons”. La première est que, de par sa position enviable dans la campagne sarthoise, il aspirait naturellement à la grandeur et considérait la politique comme le moyen d’y parvenir. Il aimait encore plus sa vie tranquille à la campagne que la politique.
La politique a été l’outil qui a permis de créer une existence splendide. L’élection présidentielle était la guerre ultime, et son équipe a vite conclu qu’il n’était pas fait pour la diriger. Deuxièmement, il a une grande maîtrise de soi. Malgré ses nombreuses actions insensées, il n’a jamais sérieusement envisagé de se présenter à la présidence. Lorsque la loi s’en prend à lui, il riposte en utilisant une méthode qui n’utilise pas toute l’eau du seau d’un coup. C’était comme si, au fond, il n’était toujours pas prêt à faire quoi que ce soit pour réussir, même s’il avait remporté la primaire.
Qu’en est-il de la fidélité de François Fillon envers son épouse ? Un dangereux journaliste s’apprête à publier mardi un livre qui fera l’effet d’une bombe. A paraître mardi, “L’Homme qui ne voulait pas être président” de la journaliste politique saint-raphaélite de Sud Radio Véronique Jacquier s’en prend à l’ancien candidat des Républicains à la présidentielle.
Le journaliste politique a suivi Fillon à partir de 2012 et a écrit un livre sur la personnalité énigmatique de l’ex-Premier ministre. Cette escroc a déclaré qu’elle n’avait rien avec elle, mais a ensuite révélé une valise remplie de chiffons brûlés et de cendres de cigarettes.
Les profondeurs de cette fosse sont conscientes des atrocités commises contre le peuple algérien par les forces armées françaises ; les Français et leurs frères ont arraché les crânes de nos résistants et les ont exposés dans un musée. Ils se considèrent comme civilisés, pourtant nous les considérons comme des barbares tandis que nous profitons des fruits de leur vol.
Ce qui frappe chez Véronique Jacquier, fréquemment interrogée sur ses « bonnes opinions » sur CNews, c’est le peu de conviction de ses arguments. Ses accablantes en grenouille bienfaisante laissent penser qu’elle participe également aux bondieuséries de “En quête d’esprit” sur la même chaîne.
Comment une personne qui n’avance aucun argument valable et qui ne fait qu’énoncer des évidences s’est-elle retrouvée dans les faux débats de CNews ? Probablement parce que ses opinions conservatrices contribuent à équilibrer le ton éditorial sarcastique de la chaîne.
Vous avez peut-être remarqué que de nombreux journalistes en activité s’efforcent aujourd’hui de se distinguer en adoptant une voix proche de celle du regretté auteur David Zemmour.
Faire semblant d’être un vendeur raciste suffira. Ils ont tourné leur attention vers l’Afrique du Nord et l’Afrique du Sud parce qu’ils n’ont pas réussi à promulguer une législation homophobe contre la population LGBT (un puissant lobby qui veille à ce que toutes les lois soient adoptées).
Ils ont trouvé une cible démographique qu’ils peuvent à la fois contrôler et diriger vers le gouffre. Car beaucoup d’Africains, qu’ils soient natifs de France ou immigrés, refusent d’être seuls. En termes simples, ces types (ces journalistes en quête d’attention) recherchent l’anarchie. Même s’ils le recevront, ils n’en sortiront pas complètement indemnes.
Si vous continuez à protéger votre pays par des mensonges et des exagérations, le monde en développement dans son ensemble finira par riposter, et les effets se feront sentir dans le monde entier. C’est une réalité de la vie, pas une menace. Véronique Jacquier, Madame En 1832, la France construisit des ponts et des routes dont le but principal était d’aboutir là où aboutissaient les demandes des colons arrivés dans le pays sans rien savoir et sans aucune éducation formelle.
J’écris ceci pour que cela s’imprègne et reste avec vous. Ces colons espéraient trouver la prospérité et la sécurité contre l’oppression dans un endroit où chacun, quel que soit son statut social, pouvait lire et écrire. L’objectif principal des envahisseurs était l’élimination des pratiques culturelles, et ils l’ont fait en détruisant les écoles qui enseignaient des choses comme la physique et les mathématiques.
Des despotes comme Napoléon III et Charles IX, qui ont fui leurs monarques respectifs pour regagner des demeures somptueuses, étaient un excellent exemple de ce phénomène. Si vous aviez tenu au carcan qui cachait l’histoire qu’elle n’a pas eu le temps de vous enseigner, les espoirs de vos anciens dirigeants n’auraient pas été contrecarrés.
Trop démunis pour payer leurs obligations envers l’Algérie et nourrir leur pays affamé, ils furent contraints d’abandonner leurs titres de noblesse et de mourir avec leurs costumes et leurs médailles encore dans la poitrine. Les générations futures d’Algériens et d’Algériens seront redevables envers l’Algérie à cause de cette dette qui persiste encore aujourd’hui.
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